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Fruit orange petit rond avec la meilleure qualité

La saveur acidulée de ce petit fruit exquis rehausse plats salés et desserts sucrés. Il se déguste par petites touches et connaît son heure de gloire comme élément décoratif chic et exotique. Très bonne source de vitamine C, le physalis est issu d’une plante vivace (famille des solanacées). C’est une baie ressemblant à une cerise d’un jaune-orangé, enveloppée d’un calice. Si ce petit fruit exotique, que l’on appelle aussi « amour en cage » ou « coqueret du Pérou », s’avère très décoratif, il n’en est pas moins délicieux à déguster (comestible à maturité). En confiture ou en chutney Il suffit de le croquer pour en apprécier la saveur acidulée ou de le consommer en confiture, sirop, sorbet, confiserie, pâtisserie… Il trouve sa place dans une salade de fruits, une mousse, une tarte ou un chutney, permet de varier vos recettes de muffins, tiramisu, cake, clafoutis, smoothies. Mariez-le avec de la mangue, de la pomme, du fromage blanc, de la papaye ou encore des figues. Vous pouvez aussi l’associer à un risotto, un plat de magret de canard (à l’orange, par exemple), un poulet rôti (en compotée), du boeuf émincé aux oignons. Le physalis est ce joli petit fruit rond qui ressemble un peu à une orange miniature ou à une cerise orangée. Ses saveurs délicieusement acidulées rehaussent en particulier les desserts et les gâteaux, mais on peut le consommer de mille et une manières. Cerise d’hiver, coqueret du Pérou, groseille du Cap, lanterne japonaise ou encore amour en cage… Les surnoms donnés au physalis sont aussi nombreux que ses variétés. Le physalis est un petit fruit rond de couleur orangée, originaire d’Amérique centrale et du Sud, qui appartient à la même famille que la tomate et présente, à côté de ses bienfaits nutritionnels, l’avantage de pouvoir être conservé pendant une durée record de trois à quatre mois. Le physalis pèse entre 5 et 7 grammes en moyenne. Cette petite baie enveloppée d’un calice doré est gorgée de vitamines (B1 et B2, C, bêta-carotène), est riche en minéraux (potassium, magnésium) et en fibres. Le physalis est peu calorique avec seulement 36 kcal / 100 g. Pauvre en lipides (1 g / 100 g) et gorgé de glucides (6 g / 100 g), il convient parfaitement dans le cadre d’un régime équilibré. Comment le déguster ? Doté d’une chair très juteuse et aromatique, le physalis est délicieux nature. Il peut être poêlé, compoté, épicé, chocolaté, tout en offrant de belles qualités décoratives. Il peut être consommé au petit déjeuner, comme en-cas ou en dessert. Attention cependant à ne pas manger les baies encore vertes, car les graines peuvent s’avérer toxiques. Comment le choisir et le conserver ? Pour bien choisir vos physalis, prenez la barquette dans votre main. Si elle est très légère, il y a de fortes chances d’y trouver des fruits déshydratés, pauvres en jus et en parfum. La base du calice doit être parfaitement sèche. Nul besoin de mettre le physalis au frais dans le bac à légumes du réfrigérateur. Entouré de son calice, il se maintient très bien à l’air ambiant pendant trois à quatre mois. LE PHYSALIS, DE QUOI S'AGIT-IL ? Nommé physalis, groseille du Cap, cerise d’hiver, pok-pok, alkékenge ou amour en cage, ce petit fruit exotique,  produit par Physalis pruinosa, pèse entre 5 et 7 g. Appartenant à la famille des solanacées, comme l’aubergine et la  tomate, c’est une baie juteuse, acidulée, rafraîchissante et sucrée, cachée sous un calice beige. Originaire des  Andes, le physalis est cultivé en Inde, dans les Antilles, en Afrique... Naturopathe, Marc Le Quenven a découvert ce  fruit au Brésil. « Récemment, j’en ai beaucoup vu dans les assiettes en Californie et, aujourd’hui, il revient à la  mode en Europe », explique-t-il. En France, on signale le coqueret du Pérou, une variété comestible cultivée dans la  région de Nice et en Anjou. Attention, il ne faut pas le confondre avec les « lanternes japonaises », parfois  ajoutées aux bouquets par les fleuristes, qui, elles, peuvent être toxiques. POURQUOI LE CONSOMMER ? Parce que le physalis est bon ! Mais aussi parce qu’il relève presque du super-aliment : il procure des vitamines A (pour la vision), C (pour faire le plein d’énergie et booster le système immunitaire), B1 (pour le système cardio-vasculaire) et B3 (pour la circulation sanguine). Autres atouts : cet aliment à l’apport calorique très faible est riche en fibres, en antioxydants et en fer. « En hiver, durant la pleine saison de novembre à février, on peut en intégrer quotidiennement à son alimentation », recommande le naturopathe. OÙ LE TROUVER ? Vendu frais chez les primeurs ou dans les magasins exotiques, le physalis s’achète également sécher dans les épiceries bio. L’idéal ? Le consommer très frais et d’origine biologique, de préférence produit en France pour éviter de plomber son bilan carbone. COMMENT CUISINER LE PHYSALIS ? En salade : ajoutez une poignée de physalis à des fruits exotiques (banane, ananas, mangue, kiwi...). En clafoutis : disposez 20 physalis coupés en deux dans un plat à gratin. Fouettez 1 oeuf, 30 g de farine, 1 cuil. à soupe de noix de coco râpée, 3 cuil. à soupe de crème fraîche, 1/2 cuil. à café de rhum et 1 cuil. à soupe de sucre. Versez le tout sur les physalis, enfournez 25 mn à 180 °C (th. 6). En salsa verde : hachez 20 physalis, 1/2 oignon rouge, 1 gousse d’ail, 1/2 bouquet de coriandre, 1 petit piment vert et la chair de 1/2 avocat. Ajoutez le jus de 1 citron vert, sel, poivre. Servez avec un poisson ou des crevettes grillées. En poêlée végétale : faites revenir 150 g de châtaignes cuites coupées en deux avec 1 cuil. à soupe d’huile d’olive. Ajoutez-y 100 g de champignons de Paris émincés et 1 gousse d’ail hachée. Faites sauter 3 mn. Ajoutez-y 20 physalis coupés en deux, salez, poivrez. Servez avec une salade de pousses. En ceviche : comme Juan Arbelaez chez Limon (Paris-8e), on ajoute des physalis coupés en deux à un ceviche de maigre mariné à l’huile d’olive, agrémenté de dés de tomates, coriandre hachée, oignon de printemps émincé et zeste de citron. En poke bowl : chez Natives (Paris-10e), des physalis viennent pimper un bol de riz, poisson mariné, grenade, sésame grillé, chou rouge et sauce nikkei (sauce soja, huile de sésame, jus de citron). En dessert chocolaté : on s’inspire de Simon Horwitz, chef d’Elmer (Paris-3e), et de son dessert mêlant cacao et physalis. Fouettez 3 jaunes d’oeufs et 50 g de sucre. Portez 12,5 cl de crème et 12,5 cl de lait à ébullition. Ajoutez les œufs au mélange crème-lait, laissez cuire jusqu’à frémissement. Retirez du feu, ajoutez 150 g de chocolat noir haché. Mélangez et laissez refroidir. Servez des quenelles de crémeux au chocolat avec des rondelles de physalis et saupoudrez le tout d’amandes caramélisées hachées. 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