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Orange amère de séville avec le meilleur prix

Les oranges amères ou les oranges de Séville, qui est aussi connu sous le nom de le vrai ou aigre de l'Espagne, appartenant à un groupe de variétés qui sont cultivées sans greffage. Le fruit est rond et légèrement aplati de taille moyenne, la croûte est rugueuse, grossière, épaisse et avec beaucoup de graines, cette orange ne convient pas pour la consommation fraîche parce que sa pulpe est très amère et acide. Sa collection est au début de Janvier, il est principalement utilisé pour l'élaboration de confitures et de liqueurs pour son arôme fort, vous pouvez également obtenir une série de sous-produits tels que les huiles essentielles de l'écorce et l'eau de fleur d'oranger, utilisé dans les aliments et les cosmétiques. Il est l'une des espèces d'agrumes a plus de demande pour leur intérêt ornemental, surtout dans le sud et l'est de l'Espagne, étant ici le climat le plus chaud et favorable pour les orangers. Comment les furanocoumarines augmentent-elles les taux sanguins de certains médicaments jusqu'au surdosage toxique ? En neutralisant de manière définitive une enzyme, le cytochrome P450 3A4 (CYP3A4), qui joue un rôle essentiel dans la dégradation de certaines substances pharmacologiques (jusqu'à 50 % de la pharmacopée selon certains experts, [2]). L'enzyme CYP3A4 se trouve en grande quantité dans les parois de l'intestin (dans les entérocytes) ainsi que dans le foie (dans les hépatocytes). Cette donnée est à garder à l'esprit pour comprendre les effets du pamplemousse et les types de médicaments affectés par l'ingestion de cet agrume. De plus, la quantité de CYP3A4 présente dans les entérocytes et les hépatocytes varie fortement selon les individus : il existe donc une sensibilité individuelle aux interactions entre le pamplemousse et les médicaments. Plus un médicament est sensible à la dégradation par CYP3A4, moins bonne est sa biodisponibilité orale puisqu'une grande partie de ce médicament est dégradée lors du passage à travers la paroi intestinale puis, via la veine porte, à travers le foie. Par exemple, pour la félodipine, un antihypertenseur très sensible à CYP3A4 et pris comme modèle dans les études sur les effets du pamplemousse, seulement 15 % de la dose ingérée est habituellement trouvée dans la circulation générale. Lorsque du pamplemousse est ingéré, le CYP3A4 contenu dans les entérocytes et les hépatocytes est durablement neutralisé, et la biodisponibilité orale de la félodipine s'en trouve fortement augmentée : 200 à 250 mL de jus bus 4 heures avant la prise de félodipine multiplient par 4 ses taux sanguins [2]. Après 3 verres de jus (1 le matin, 1 à midi et 1 le soir), ces taux sont multipliés par 5 (effet cumulatif, car les entérocytes et les hépatocytes n'arrivent plus à compenser la neutralisation en sécrétant de nouvelles molécules de CYP3A4). L'augmentation des taux sanguins des substances actives concernées, par amélioration de leur biodisponibilité orale, provoque un surdosage qui se traduit par une augmentation de leurs effets indésirables habituels, voire l'apparition de toxicités parfois graves (voir ci-dessous). À noter, le pamplemousse, comme d'autres fruits (oranges et pommes par exemple), agit également en perturbant des protéines dites « transporteuses », chargées d'améliorer l'absorption cellulaire de certains médicaments. Dans ce cas, les fruits diminuent la biodisponibilité de ces derniers : c'est le cas par exemple du jus de pomme qui diminue la biodisponibilité de la fexofénadine ou de l'aténolol, ou du jus d'orange douce qui diminue celle de l'aténolol, des fluoroquinolones, de l'alendronate ou du montelukast [3, 4]. Dans ces cas, plutôt que des effets indésirables toxiques, une diminution de l'efficacité est notée. À partir de quelle quantité de pamplemousse il y a-t-il des interactions ? Définir une dose minimale effective est difficile, car l'intensité des interactions entre le pamplemousse et les médicaments dépend de plusieurs facteurs : la teneur en furanocoumarines du fruit ou du jus consommé ; la sensibilité du médicament concerné aux effets du CYP3A4 (donc sa biodisponibilité orale) ; la quantité de CYP3A4 contenue dans les entérocytes et les hépatocytes du patient (forte variabilité individuelle) ; s'il s'agit d'une consommation occasionnelle ou répétée : les toxicités graves rapportées concernent essentiellement des patients ayant consommé du pamplemousse de manière quotidienne, pendant plusieurs jours, semaines, voire mois avant la prise médicamenteuse (effet cumulatif) ; de la marge thérapeutique du médicament concerné (c'est-à-dire de la différence entre sa dose efficace et sa dose toxique). Dans les essais pharmacologiques, il a été montré, comme indiqué précédemment, que 200 mL de jus de pamplemousse suffisent pour augmenter la biodisponibilité orale de la félodipine, avec un effet maximal 4 heures après la boisson. Dix heures après, l'effet est encore de 50 % de l'effet maximal observé (25 % après 24 heures, ce qui confirme qu'un seul verre perturbe la biodisponibilité même si le médicament est pris une seule fois par jour). À noter, dans le cas de la félodipine, que la prise de 500 mL de jus de pamplemousse produit des effets quasi identiques à celle de 250 mL, les CYP3A4 étant déjà complètement neutralisés avec 250 mL de jus. Quel profil pour les médicaments concernés par ces interactions ? Du mécanisme d'action décrit précédemment, on peut déduire le profil des médicaments concernés par les interactions avec le pamplemousse : des médicaments métabolisés par CYP3A4 ; des médicaments administrés par voie orale (qui vont rencontrer CYP3A4 deux fois avant d'intégrer la circulation générale : dans les entérocytes et dans les hépatocytes via la veine porte) ; des médicaments dont la biodisponibilité orale est faible (moins de 30 % de la dose ingérée) ou moyenne (de 30 à 70 %). Dans leur revue sur le sujet, Bailey et al. [2] mettent l'accent sur certaines substances actives qui remplissent ces trois conditions (liste non exhaustive) : certains médicaments fréquemment prescrits contre l'excès de cholestérol : atorvastatine et simvastatine ; les médicaments immunosuppresseurs prescrits après une greffe d'organe : ciclosporine, tacrolimus, sirolimus, évérolimus et temsirolimus ; Notre société peut exporter toutes sortes de produits dans différentes parties du monde en utilisant un personnel expérimenté et des machines modernes. Vous pouvez contacter avec nous. Notre société peut traiter toutes les questions d'exportation, nous sommes heureux de vous contacter.

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